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Divorce : qui est la victime?

Photo du rédacteur: nouvelleinfo nouvelleinfo

Quand vient le moment de la séparation, car la flamme de l’amour n’existe plus, la garde d’un enfant est souvent synonyme de conflit. Pour certains ex-couples, ils peuvent réussir à surmonter leurs différents pour pouvoir aider l’enfant à se développer malgré la séparation.


Mais, contre tout attente, se quitter ne finit pas toujours en bon terme. Et souvent, l’enfant passe au second plan. Ces besoins, ces valeurs, ces intérêts, sa confiance et son développement sont à risque quand les parents se font la guerre entre eux.


Durant leur bataille, ils pensent seulement à blesser l’autre en essayant de garder l’enfant le plus pour lui ou elle. Les coups sont durs et bas pour obliger l’autre à payer des pensions alimentaires astronomiques, alors qu’il vit seulement de son emploi et doit maintenant en prendre un deuxième. Les faux sourires sortent et les larmes sont ravalées quand le petit vient, quand c’est la fameuse fin de semaine sur deux.


Au final, les seules personnes qu’on blesse sont les enfants qui vivent le divorce.


Tout dépend comment ils le prennent.


Si les parents trouvent un arrangement sans juge, sans avocat et sans tribunaux. Ils pourront continuer à sourire avec deux maisons différentes et avec des parents en bons termes.


En revanche, si l’enfant doit vivre avec la justice durant toute son enfance, il aura des blessures mentales et émotionnelles. Devoir vivre avec des parents disant du mal de l’autre. Devoir vivre avec des parents ayant pas le temps de s’occuper de lui, à cause de devoir prendre une deuxième job pour survenir à ses besoins et à la passion.


Mais aussi avec la crainte de devoir vivre avec une question déchirante, telle une épée de Damoclès.


« Mon ange, tu préfères qui? Ton papa? Ou ta maman? »


Jamais un enfant ne devrait être au centre d’une bataille entre adultes immatures.


Car un enfant devrait pourvoir faire confiance à ces géniteurs. Pourvoir rire, sourire et pleurer avec eux en tout innocence sans avoir l’impression d’être manipulé comme une marionnette. Mais surtout, avoir la sécurité, un toit et tout l’amour de ces parents malgré une séparation.


Car, si les parents peuvent se dire au revoir sans blesser leurs petits, la famille restera unie malgré tout.


Et pour les parents, l’amour est une arme puissante. Même si un divorce se prononce, le parent en désavantage ne cessera jamais d’aimer son enfant et de contribuer à son bonheur.

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